Sur une autre parcelle de céréales mélangées, un essai d’implantation d’un couvert végétal a été réalisé, en semant à la volée avant la récolte. Une technique expérimentée en Bretagne depuis plus de 3 ans maintenant qui a donné des résultats acceptables. L’objectif est de profiter de la fraicheur encore présente au sol pour faciliter l’implantation et limiter les coûts. Seulement comment faire pour passer avec un outil au-dessus de la céréale. Pour ceci nous avons donc sollicité un prestataire qui est intervenu avec un drone équipé d’un petit semoir centrifuge. Une première dans le département. Le modèle présenté par la Société Drone+ pèse près de 25 kg et embarque environ 10 kg semence. Avant le démarrage, la parcelle est cartographiée de façon à assurer le guidage de l’engin qui ensuite est en pilotage automatique. La dose réglée à 20 kg par ha comprenait avoine, radis chinois et trèfles d’Alexandrie. Le débit de chantier, 20 à 25 min /ha est intéressant. Sur une autre partie de la parcelle, le couvert sera implanté après la récolte avec un semoir direct de l’inter-Cuma du Naucellois associée à cet essai. Elle réalise à ce jour près de 600 ha avec deux semoirs directs, en service simple ou complet. Reste à voir le résultat, le RDV est donné à l’automne pour observer les levées. Des images de cette démonstration sont disponibles sur les réseaux sociaux. Dans la Vallée du Lot, une démonstration identique a été organisée localement par les responsables locaux des Cuma de Villecomtal et Coubisou et la Société Drone vision pro. Même si les résultats ne sont vérifiés (il faut attendre l’automne) et que tout n’est pas totalement au point, cette technique suscite de nombreuses réflexions sur ce que l’on pourrait faire avec ce type d’outils. Déjà les agriculteurs imaginent des applications pour les espaces où les accès sont difficiles pour du semis ou des traitements autorisés avec cette technique. A suivre…
Sur une autre parcelle de céréales mélangées, un essai d’implantation d’un couvert végétal a été réalisé, en semant à la volée avant la récolte. Une technique expérimentée en Bretagne depuis plus de 3 ans maintenant qui a donné des résultats acceptables. L’objectif est de profiter de la fraicheur encore présente au sol pour faciliter l’implantation et limiter les coûts. Seulement comment faire pour passer avec un outil au-dessus de la céréale. Pour ceci nous avons donc sollicité un prestataire qui est intervenu avec un drone équipé d’un petit semoir centrifuge. Une première dans le département. Le modèle présenté par la Société Drone+ pèse près de 25 kg et embarque environ 10 kg semence. Avant le démarrage, la parcelle est cartographiée de façon à assurer le guidage de l’engin qui ensuite est en pilotage automatique. La dose réglée à 20 kg par ha comprenait avoine, radis chinois et trèfles d’Alexandrie. Le débit de chantier, 20 à 25 min /ha est intéressant. Sur une autre partie de la parcelle, le couvert sera implanté après la récolte avec un semoir direct de l’inter-Cuma du Naucellois associée à cet essai. Elle réalise à ce jour près de 600 ha avec deux semoirs directs, en service simple ou complet. Reste à voir le résultat, le RDV est donné à l’automne pour observer les levées. Des images de cette démonstration sont disponibles sur les réseaux sociaux. Dans la Vallée du Lot, une démonstration identique a été organisée localement par les responsables locaux des Cuma de Villecomtal et Coubisou et la Société Drone vision pro. Même si les résultats ne sont vérifiés (il faut attendre l’automne) et que tout n’est pas totalement au point, cette technique suscite de nombreuses réflexions sur ce que l’on pourrait faire avec ce type d’outils. Déjà les agriculteurs imaginent des applications pour les espaces où les accès sont difficiles pour du semis ou des traitements autorisés avec cette technique. A suivre…